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LES ARCHIVES DU JOURNAL PERMANENT









































































“Le Pr G. Darcourt et le Dr M. Robin ont rencontré Mr Morvan qui effectue pour l'AFNOR (organisme officiel de normalisation et de certification) une étude à la demande de la Fédération Française de Psychothérapie (FFdP). L'AFNOR a été saisie il y a environ 4 ans car la FFdP souhaitait savoir si certains éléments concernant les psychothérapies pouvaient être codifiés. L'étude actuelle consiste à savoir : - si la demande correspond à un besoin, - si elle entre dans le champs de compétence de l'AFNOR, - s'il existe un certain consensus sur la question dans le milieu concerné ou si le sujet doit être réduit. L'entretien avec la FFP est situé en fin d'étude avec pour but de confronter une opinion déjà constituée à partir des rencontres précédentes. M. Morvan a déjà vus : - Les associations d'usagers. Elles souhaiteraient qu'une information puisse être délivrée sur ce qu'est la psychothérapie, et que des critères permettent de savoir à qui se fier. - Diverses associations de psychanalystes. Une partie ont mis l'accent sur l'importance de la formation qui doit inclure un travail sur soi. D'autres affirment que la psychanalyse n'appartient pas au champ de la psychothérapie. - Les syndicats de psychiatres. Ils ont répondus que la psychothérapie fait partie de l'acte psychiatrique et que la spécificité des psychiatres était de pouvoir adjoindre un traitement médicamenteux si nécessaire. Par ailleurs, la psychothérapie est plutôt décrite comme un outil. - Les représentants des psychologues pour qui la psychothérapie est une de leurs fonctions possibles. Le diplôme de psychologue est considéré comme une "pré-formation", l'exercice de la psychothérapie nécessitant une formation complémentaire. - Les pouvoirs publics qui sont intéressés par le sujet et les conclusions de l'étude. Il a également noté que dans la plupart des pays européens, la question des critères requis pour être autorisé à exercer le métier de psychothérapeute est posée. Dans la mesure où les consommateurs sont les seuls à être demandeurs (les psychiatres et psychologues estiment que leur diplôme est en soi une garantie suffisante) et où l'établissement d'une norme exige un consensus (il s'agit sinon d'une réglementation qui n'entre pas dans le champ de compétence de l'AFNOR) qui n'existe pas, M. Morvan conclut à 2 possibilités de travail : - L'information au consommateur. Il s'agirait de dire, de manière accessible, ce qu'est la psychothérapie, quels en sont les outils et qui la pratique, en mettant l'accent sur la multiplicité de ses formes. - La garantie au consommateur. Puisque psychiatres et psychologues ont des diplômes qui offrent une garantie suffisante, le champ serait alors réduit aux "psychothérapeutes non-psychiatres et non-psychologues". Il s'agirait d'élaborer des critères d'exigence vis à vis de ce groupe, le problème étant que ce dernier est difficile à définir ! L'avis de la FFP est assez proche, préférant une logique d'information à une logique de garantie. G. Darcourt précise que la formation à la psychiatrie intègre une formation à la psychothérapie qui en est indissociable. Cette formation conduit néanmoins à des niveaux de compétence différents. On pourrait schématiquement distinguer d'une part un niveau de base correspondant au minimum que doit connaître chaque étudiant et un niveau de connaissance plus orienté vers une pratique particulière. Ces 2 niveaux peuvent être acquis dans le cadre habituel des études de médecine. Il existe d'autre part un autre niveau, plus avancé, qui correspond alors à une démarche personnelle.

Il ne semble donc pas que l'étude de l'AFNOR aboutisse à créer un label "psychothérapeute" indépendant des titres de psychiatre ou de psychologue et qui serait un titre supplémentaire à acquérir en plus de la formation initiale. Si ce que dit Mr Morvan est exact, ce n'est ni dans l'intention ni dans les possibilités de l'AFNOR de faire une telle proposition. Il considère que le titre de psychiatre ou de psychologue donne par lui-même le label de psychothérapeute. Ceci dit, il y a d'autres problèmes : ne va-t-on pas vers un titre de psychothérapeute pour des gens qui ne sont ni psychologue ni psychiatre ?"







TACHE JAUNE ET LUMIERE BLEUE
Un tiers des occidentaux de plus de 70 ans sont atteints de degenescence maculaire (alteration de la macula ou "tache jaune" de la retine). La tache jaune, partie de la retine ou la vision atteint le maximum de la nettete, renferme notamment des batonnets et des cones qui sont des recepteurs cellulaires. Ulf Wihlmark de l'Institut d'ophtalmologie de l'universite de Linkoeping a etudie dans sa these ces cellules qui sont tres riches en acides gras polyinsatures. Il semble que l'exposition de la retine a des rayons bleus cree des radicaux acides nuisibles qui provoquent le "rancissement" des acides gras polyinsatures. Ce phenomene engendre la formation de lipofuscine que le corps ne peut eliminer. Il est possible que cette substance soit a l'origine de la destruction progressive des cellules de la macula. Ulf Wihlmark affirme donc qu'il est important de se proteger des rayons bleus de la lumiere du jour, et regrette que la plupart des fabricants de lunettes de soleil ne precisent pas le spectre lumineux filtre. Le groupe de chercheurs va examiner un antioxydant, present notamment dans les fruits et les legumes, qui pourrait empecher l'endommagement des cellules de la macula.
(Source : Universite de Linkoeping, TT 26/05)
Pour plus de renseignements : Service Scientifique & Technologique, Ambassade de France en Suede, Tel : (+46) 8 459 53 90, Fax : (+46) 8 459 53 89, E-mail
Association franco-suedoise pour la Recherche, AFSR Svensk-franska forskningsforeningen Box 5203, S-102 45 Stockholm tel +46 8 678 10 00, fax +46 8 611 70 14 - E-mail http://hem.passagen.se/afsr









































































































Un compte-rendu de ce colloque prochainement sur Psydoc-fr



Pour les consulter cliquez ici



La première journée a été consacrée à un bilan d'étape de la mise en place de Psydoc-France, c'est-à-dire de la base de données, accessible par "la Toile" (en anglais: Internet), qui rassemble les publications psychiatriques françaises et du développement de la coopération entre les différents intervenants de la chaîne éditoriale et documentaire (la genèse de cette réalisation a été exposée par J.-M.Thurin dans un article paru dans La lettre de Psychiatrie française,numéro 61 ).
Cette journée a connu un vif succès, tant en raison de la motivation, de la qualité d'écoute et de l'assiduité de l'assistance (composée en majorité de psychiatres responsables de revues ou de sociétés scientifiques, de documentalistes et de bibliothécaires) que de la pertinence des exposés techniques et de la richesse des débats en ateliers. Les participants ont été sensibles au soutien des grands organismes - la Délégation générale à la langue française, l'Inserm (réseau DIC-DOC), le CNRS (INIST) - dont les représentantes ont su se constituer parties intégrantes des échanges d'informations et du travail d'élaboration.
Le compte rendu des communications peut être obtenu auprès de la Fédération française de psychiatrie . D'ores et déjà, on retiendra les sept principaux points du programme d'action à court et moyen termes énoncés en clôture par Jean-Michel Thurin:
a) - Créer une interface publications françaises/lecteurs allophones en utilisant le vocabulaire MESH
b) - Créer et soumettre à la discussion des listes de mots issus de l'indexation de travaux français et manquant dans le MESH
c) - Ouvrir aux psychiatres un potentiel de formation en rapport avec leurs besoins
d) - Organiser une veille thématisée à large balayage de quelques champs difficiles d'actualité récurrente, comme par exemple : l'éthique, les dépendances et le sevrage des toxicomanies
e) - Créer des liens internationaux individualisés, par exemple étendre aux revues étrangères francophones les répertoires créés avec les revues françaises
f) - Soutenir les initiatives des documentalistes et bibliothécaires en vue de développer leurs méthodes et moyens de coopération
g) - Rédiger les projets de cahiers des charges et de conventions permettant aux partenaires institutionnels de se rapprocher d'objectifs communs. (Claude Veil)


Après avoir rapplé l'harmonie nécessaire entre FMC et FM initiale au sujet de laquelle une mission a été confiée aux Pr Mattei et Etienne, H. Gaymard a, quant à lui, défini six priorités de formation :

- lutte contre les diverses dépendances (alcoolisme, tabagisme, toxicomanie)
- maladies infectieuses et en particulieer hépatite C
- traitement de la douleur
- ostéoporose
- juste prescription (en particulier actes d'analyses et de biologie médicale et médicaments)

Ouvrant les élections au Bureau du CNFMC, en tant que Doyen d'âge, le Pr M. Lerat (Ordre des médecins) a souhaité qu'à côté des thèmes spécifiques situés comme prioritaires par Mr H. Gaymard, il puisse être envisagé d'initier les médecins :

- aux grands fléaux
- aux connaissances juridiques et de gestion du cabinet
- à l'informatique et aux langues étrangères
- à la recherche médicale
- et de concevoir des formations passerelles permettant les changements de spécialité pour ceux qui le souhaitent.

Après son élection comme président du CN FMC, le Pr B. Glorion a souligné l'importance de la mission confiée au CN FMC. La FMC concerne chaque médecin, qu'il soit généraliste ou sépcialiste, quel que soit son mode d'exercice. Le CN FMC aura à répondre de la compétence des médecins de demain. La complémentarité de ses membres est un atout. Le travail sera à la fois scientifique et pédagogique. Chaque médecin devra pouvoir trouver en fonction de sa spécificité la FMC qui lui convient." (JM. Thurin)